Les industries dans leur fonctionnement sont soumises à des nuisances sonores, tant internes qu’externes. Aujourd’hui, plus que jamais auparavant, l’exigence d’une isolation phonique ou vibratoire interpelle tous les capitaines d’industrie.
Quelles conséquences engendrent les bruits et vibrations en industrie ?
La pollution sonore et vibratoire en industrie est une véritable problématique du secteur privé, surtout dans les pays à forte activité industrielle comme la France, la Chine et le Japon. Les nuisances phoniques et vibratoires des machines, moteurs et équipements bruyants dans les halls d’industrie engendrent très vite de grands dégâts sur les travailleurs et le voisinage. Les dommages créés à l’audition sont généralement accompagnés d’effets graves sur la santé que vous pouvez éviter avec solutions-elastomeres, il s’agit notamment de conséquences comme :
- stress
- hypersensibilité au bruit
- augmentation de la pression artérielle
- lésions cardiovasculaires
Une exposition quotidienne de 8 heures, à 85 décibels peut représenter un niveau de risque acceptable pour la santé phonique en milieu industriel. Les dommages n’existeront qu’en cas d’exposition répétée au bruit pendant de nombreuses années.
En revanche, les niveaux de bruits pulsionnels ou soudains, dépassant la norme d’exposition maximale de 140 décibels sont dangereux et susceptibles de causer des dommages auditifs immédiats, allant jusqu’à la perforation du tympan avec une perte permanente de l’audition. Ainsi, les effets se répercutent immédiatement sur la communication interne et la productivité des travailleurs.
Quid des variations ? Il est prouvé que les travailleurs qui sont exposés à la fois aux vibrations et au bruit sont plus susceptibles de souffrir d’une perte auditive que les travailleurs exposés au même niveau de bruit uniquement. L’exposition à la fois aux vibrations et au bruit augmente surtout le risque de problèmes musculo-squelettiques.
Comment la réglementation interdit la pollution phonique ?
Une kyrielle de dispositions légales exige la réduction du bruit et autres pollutions sonores sur le lieu de travail. En France, c’est l’article L.4121-2 du code du travail qui édicte les principes généraux de la prévention des risques professionnels. Cette disposition oblige les capitaines d’industrie à prévenir les risques d’inconfort acoustique en les combattant à la source : d’où l’importance des solutions élastomères d’isolation phonique et vibratoire.
En quoi consiste l’isolation phonique ou antivibratoire ?
Les prouesses de la technologie ont engendré diverses solutions elastomeres destinées à améliorer la qualité d’insonorisation dans les usines et leurs environnements respectifs : plots, cheville dimibruit, mousse anti vibratoire… Une bonne isolation phonique ou vibratoire en industrie comporte :
- l’isolation du bruit des équipements techniques par boîtier ou par encapsulation complète : les automobiles de grande taille, machines et équipements font souvent des bruits et vibrations très désagréables ;
- l’isolation phonique des composants et pièces individuels avec un élastomère solution à placer au plus près de la source du bruit ;
- l’insonorisation des salles de serveurs et des systèmes de ventilations avec des absorbeurs de bruits.
Enfin, c’est aujourd’hui un gage de qualité et un avantage concurrentiel pour les industries, d’utiliser des machines et installations silencieuses ultramodernes.